Duo with Gary Peacock in NY
Le CD “53rd Street”, Gary Peacock, Robert Kaddouch en duo a obtenu le CHOC Classica.
Ce Choc a été décerné par le journaliste et homme de lettre Jean-Pierre Jackson, dans le magazine Classica de février-mars 2016.
La présentation du second album : “High Line”
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Les deux albums en duo avec Gary Peacock
ont obtenu le “MAESTRO” du magazine Pianiste
Robert Kaddouch, éminent pédagogue, pianiste raffiné, et Gary Peacock, prestigieux contrebassiste qui, depuis trente ans, accompagne Keith Jarrett, font paraître d’un coup deux albums à la personnalité singulière où l’improvisation complice tient la plus belle part. Le toucher cristallin du pianiste, ses accords complexes frôlant souvent le cluster, l’ample respiration de son phrasé, tantôt lapidaire, tantôt frêle, et presque éthéré, mêlés à la rondeur vibrante d’une contrebasse aux lignes où jamais pertinence et autorité ne font défaut, créent au long des plages un climat musical où silence et voix secrètes des hautes cimes se succèdent et s’énoncent avec une évidence qui aurait pu sembler inaccessible à une esthétique aussi rare et, au fond, si librement aventureuse. Voilà donc une musique foncièrement originale, fruit de l’instant longuement mûri, qui ne peut que séduire l’auditeur prêt à taire en lui les bruits du monde.
Jean-Pierre Jackson

in music, is like lighting a fire. The chords are like sparks.
Robert Kaddouch lights his fire with an instrument in which exchange and confrontation are the cornerstones.
Duets,
with Martial Solal, Chuck Israels, Jean-François Jenny-Clark, Eddie Gomez, Daniel Humair, and other friends, have allowed Robert to create music that no writing can match. Only the risk of improvisation of a head-spinning duet can approach it.
Gary
Leave for New York. Meet Gary Peacock. Two days of improvisation, exchange and confrontation. Hope for hugs and claws, glances and punches. The fight in which only art can be the winner.
Questions
What will happen when the magnetic fields rub against each other? And when they permeate each other? How can the sounds resist each other? Do they merge or remain distant? Only music has the answer.
Proposal
Follow this creative musical adventure every day.
Here, only you have the answer …
En musique, c’est allumer un feu. Les accords en sont les étincelles.
Robert Kaddouch allume son feu au moyen d’un dispositif dont l’échange et la confrontation sont les clés de voûte.
Les duos,
avec Martial Solal, Chuck Israels, Jean-François Jenny-Clark, Eddie Gomez, Daniel Humair, et d’autres compagnons ont permis à Robert de générer une musique que l’écriture ne peut atteindre. Seul le risque – de l’improvisation, du duo dans son vertige – peut l’approcher.
Gary
Partir pour New York. Rencontrer Gary Peacock. Deux jours d’improvisation, d’échange et de confrontation. Espérer à la fois des caresses et des coups de griffe, des coups d’œil et des coups de poing. Combat. Seul l’art peut être le vainqueur.
Questions
Que se passe-t-il quand les champs magnétiques se frôlent ? Et quand ils se pénètrent ? Comment les univers sonores résistent-ils l’un à l’autre ? Fusionnent-ils ou restent-ils distants l’un de l’autre ?
Seule la musique a la réponse.
Proposition
Celle de suivre cette aventure de création musicale au quotidien.
Ici, vous seul avez la réponse…
Recorded as a duo with Gary Peacock, “53rd Street” reflects techniques developed over many years by Robert Kaddouch in his attempts to embrace, capture and convey musical worlds which are close to his heart and relate to meaningful events in his life. His interpretation is linked to the authenticity of this approach which mixes jazz, children’s songs, Yiddish themes and his own compositions.
Their encounter in July 2015 in New York’s Avatar Studios brought them on a common journey, alternating these traditional themes with standards arranged by Robert Kaddouch, as well as two of his recent compositions (“53rd Street” and “Agile”).
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Enregistré en duo avec Gary Peacock, “53rd Street” témoigne des techniques que Robert Kaddouch a élaborées pendant de longues années pour exprimer les univers sonores qui lui tiennent à cœur, en rapport avec des événements importants de sa vie. Son expression est liée à l’authenticité de cette démarche qui mêle le jazz, les chansons enfantines, les thèmes yiddish et ses propres compositions.
En juillet 2015, dans les studios Avatar de New York, Robert Kaddouch et Gary Peacock ont façonné une page commune en alternant des standards du jazz et des thèmes traditionnels arrangés par Robert Kaddouch, et deux de ses compositions récentes (« 53rd Street » et « Agile »).
R.Kaddouch G.Peacock : le duo !
Improviser,
En musique, c’est allumer un feu. Les accords en sont les étincelles.
Robert Kaddouch allume son feu au moyen d’un dispositif dont l’échange et la confrontation sont les clés de voûte.
Les duos,
avec Martial Solal, Chuck Israels, Jean-François Jenny-Clark, Eddie Gomez, Daniel Humair, et d’autres compagnons ont permis à Robert de générer une musique que l’écriture ne peut atteindre. Seul le risque – de l’improvisation, du duo dans son vertige – peut l’approcher.
Gary
Partir pour New York. Rencontrer Gary Peacock. Deux jours d’improvisation, d’échange et de confrontation. Espérer à la fois des caresses et des coups de griffe, des coups d’œil et des coups de poing. Combat. Seul l’art peut être le vainqueur.
Questions
Que se passe-t-il quand les champs magnétiques se frôlent ? Et quand ils se pénètrent ? Comment les univers sonores résistent-ils l’un à l’autre ? Fusionnent-ils ou restent-ils distants l’un de l’autre ?
Seule la musique a la réponse.
Proposition
Celle de suivre cette aventure de création musicale au quotidien.
Suivez la page Facebook pour l’annonce de la sortie du premier album (il y en a trois).
Et pour cette musique, il faudra attendre un peu !
Gary Peacock et Robert Kaddouch à New York, le 20 juillet 2015, dans les studios Avatar de Manhattan
Suivez la page Facebook pour l’annonce de la sortie du premier album (il y en a deux ).